A visual travel diary charting the course of the expedition mounted in 1934 by Captain Brondeel, the first succesful attempt to travel from Brussels to the Congo by lorry, a journey covering 16.500 miles in 112 days.
EN
“At the end of each stage, Dekeukeleire and his tiny crew went on to record the natives of Nigeria, the Congo and Ruanda going about their daily business... If we can abstract from the pompous commentary, the rigorous, descriptive, yet also lyrical editing [...] cannot fail to enthral.”
René Michelems1
- 1René Michelems, “Terres brûlées,” in Belgian Cinema/Le Cinéma Belge/De Belgische Film, ed. Marianne Thys. (Gent: Ludion, 1999), 248.
FR
« Le film qui suit a été tourné au cours de ce voyage d’un bout à l'autre. Pas une scène de studio; pas une image qui n’ait été prise sur place et sur le vif. Pas la moindre mise en scène. »
Opening card of the film
« Sans nier prendre part à une entreprise colonialiste, le cinéaste n’aura de cesse de s’en écarter en empruntant la voie d’une démarche esthétique qui allie la volonté de réaliser un film de “géographie humaine” à celle d’une expérimentation formelle à la recherche du document pur. »
Cécile De Coninck1
- 1Cécile De Coninck, “À la recherche du document pur. Notes de Charles Dekeukeleire pour le film Terres Brûlées (1934),” L'Image dans les archives: Le scénario en question, Séminaire doctoral, Université de Lille, 28 février 2023.
